« Yvonne, princesse de Bourgogne » débute comme un véritable conte de fée. Le roi et la reine vivent paisiblement, entourés par une cour qui joue excellemment bien son rôle, entre flatteries et courbettes. Tout le monde semble connaitre les codes et les usages.
Quand surgit tout à coup Yvonne.
Elle ne sourit pas. Ne flatte pas. Refuse les convenances. Ne joue pas le rôle que l’on attend d’elle.
Face au mutisme de cette « mollichonne », les masques tombent. Les dorures s’effritent et laissent apparaitre le véritable visage de la cruauté humaine.