Pourtant chacun tue ce qu’il aime écrit un rituel d’automne aussi puissant que délicat qui rend hommage à l’animal et au vivant. Camille Mutel transforme les gestuelles paysannes, notamment celles de tuer pour se nourrir – « cueillir le vivant » – en actes chorégraphiques, les honore comme faisant partie d’un cycle qui va de la naissance à la mort en passant par le fait de prendre soin.