Dans les trois monologues des Guérillères ordinaires, l’actrice vosgienne Magali Mougel traque l’instant du commencement et le chemin obscur de la violence vers sa révélation aveuglante.
Trois paroles souterraines qui s’affranchissent définitivement du constat victimaire pour passer à l’acte et présenter l’addition. Trois petits cauchemars ordinaires pour nous passer l’envie de nous complaire dans le déni. Trois manières libérées de dire encore la colonisation des corps et des désirs féminins.
+ Rencontres en bord de scène, le 14 mai à 14 h et 20 h 30