Orchestré à la manière des groupes post-Women où la complexité des parties de guitares flirte avec la spontanéité de la musique lofi, le rock faussement mathématique de ces têtes d’ampoule déscolarisées se joue des codes élimés de ce mammouth à dégraisser.
Composé d’anciens de MNNQNS et d’autres formations rouennaises, les quatre cancres ont réussi à se construire leur propre CNED autour d'un post-punk tantôt bruitiste, tantôt sensible, et seraient bien susceptibles de finir dans le bureau du proviseur si des shrapnels de pop songs ne faisaient pas parfois surface sur la copie.