En 2021, il y a ce drôle de mot qui pourrait résumer la situation de Da Silva : apatride.
Apatride dans un paysage musical du XXIe siècle où l'homme se sent forcément trop à l'étroit. Parce que les frontières, il s'en fiche. Parce que les étiquettes, les castes, les classes, il déteste – même s'il semble évident qu'il appartient à une lignée qui irait de Charles Aznavour à Daniel Darc.
Au revoir chagrin dévoile des chansons chaloupées, bossa, reggae, des rythmes cubains par-ci, un passage oriental par-là, une valse, beaucoup de trompettes…