Avec Le jour se rêve, Jean-Claude Gallotta renoue avec la forme chorégraphique de ses débuts : une danse sans livret, sans « propos », sans habillage narratif, sans référence thématique.
En collaboration avec le musicien Rodolphe Burger et la plasticienne Dominique Gonzalez-Foerster, il revient rôder du côté de Bethune Street, à Manhattan, où dans les baies vitrées du studio de Merce Cunningham où se reflétaient au début des années 80 ses espérances d’apprenti chorégraphe.
Scènes Vosges coproduit se spectacle.