Après avoir été un des fleurons de l’industrie vosgienne à la fin du XIXe siècle, l’activité féculière décline très rapidement après la Première Guerre mondiale face à la concurrence internationale et faute d’industrialisation. Les bâtiments sont très vite reconvertis et aujourd’hui la féculerie Robert reste un des derniers témoins, presque intégralement conservé, de cette activité. Par Jean-Yves Henry, chercheur au service Patrimoines et Inventaire général.